CAPU D'ORTU 1294 M
CAPU D'ORTU 1294 M
Mercredi 11 septembre
Après un copieux petit déjeuner à l’hôtel, deux ou trois courses, nous rejoignons René et Charlotte au stade pour le départ de la balade : Capu d’Ortu (1294m). Nous montons dans la forêt de pins, au milieu des fougères, des bruyères et des arbousiers. Puis le chemin se met à grimper en lacets plus raides. Nous passons au pied de Bocca Larga puis de Bocca di Piazza. On prend à droite en direction de la Piazza Moninca. Nous arrivons à la fontaine du même nom malheureusement à sec. Nous continuons le chemin en lacets jusqu’à la Foce d’Orto (998m).
A partir de là, nous suivons les cairns dans un couloir rocheux. Quelques pas d’escalade pour rejoindre le point 1173 qui nous ramène sur la voie normale. Nous atteignons alors le sommet après environ 850m de dénivelé. Nous avons bien mérité notre pique-nique que nous savourons en contemplant la vue sur le golfe de Porto et sur Ota. Nous redescendons par la voie normale et à la Bocca di Piazza, nous prenons la direction "Roches Bleues", ce qui nous permet de faire un circuit.
Nous passons de l’autre côté de la Bocca Larga et descendons jusqu’à la châtaigneraie de Palani. Mais avant d’atteindre les Roches Bleues, nous prenons à gauche un sentier qui nous ramène au stade. Bien belle rando que celle que nous venons de faire, peut-être même la plus belle de notre séjour. Nous rejoignons Piana, y faisons quelques courses, nous jetons sous la douche à l’hôtel et retrouvons René et Charlotte au stade pour un repas commun. Très bonne ratatouille, Charlotte…
Jeudi 12 septembre
C’est hélas notre dernier jour. Après le petit déjeuner, nous rangeons et libérons les chambres. René et Charlotte sont à la plage d’Arone. Allons-y… Les courageux se jettent à l’eau. Dûment équipés de masque et tuba, Jean-Marc et moi allons admirer les nombreux poissons qui accompagnent notre baignade. Puis, viens l’heure de chercher un petit snack. En vain ! Que des restos luxueux ! C’est donc à Piana que nous déjeunerons. Il est temps de dire au revoir à René et Charlotte qui, les veinards, restent encore un peu. Nous prenons la direction d’Ajaccio où les embouteillages nous ramène à la civilisation. Nous réussissons enfin à trouver un parking. Allons faire quelques emplettes en nous baladant dans les petites rues. Nous attendons dans un troquet sur une place ombragée, l’heure d’embarquer. Dès 19 h l’embarquement commence sur le Méga ?. Bizarre, c’est le Méga Andréa qui devait nous ramener. Mais, pas de doute, c’est bien à Toulon que nous débarquerons ! Il y a un monde fou, notre voiture se retrouve au sous-sol… Bon, mais que faire en attendant le départ : allez dîner bien sûr. Ce qui nous permet, lorsque le bateau largue les amarres d’être sur le pont pour admirer encore une fois la Corse.
