NOTRE-DAME DE PARACOL- LE CUIT

Publié le par Cat&JM

NOTRE-DAME DE PARACOL- LE CUIT

NOTRE-DAME DE PARACOL – LE VAL

18 JANVIER 2015

 

Pas envie de faire de la route aujourd'hui. C'est donc vers le Val que nous choisissons de faire une petite balade. A peine garés, que voyons-nous gravir le chemin de Notre-Dame de Paracol : un groupe de randonneurs d'une trentaine de personnes. Mon côté asocial reprend le dessus et je pense à fuir. "Mais non", me rassure Jean-Marc, "en haut, nous ne suivrons pas le même chemin qu'eux". En effet, derrière la petite chapelle, un semblant de sentier plonge dans le vallon. Nous sommes d'humeur exploratrice, le GPS nous indiquant "grotte de la Poudrière". La sente disparaît, seuls les sangliers semblent être passés par là. La salsepareille s’agrippe à nos jambes, les chênes verts, le faux houx nous égratignent, qu'importe : une cavité nous attend ! Elle est certainement là, en bas de ces rochers. Une petite falaise, percée comme un gruyère nous attire. A son pied, une baume, ridiculement petite. Serait-ce la grotte espérée ? Nous longeons les barres, à droite, à gauche. Rien de mieux. Déçus, nous reprenons la descente et suivons une piste qui mène vers le petit sommet du Cui. "Dans 3 km, nous allons trouver un trou où nous sommes déjà allés, il y a quelques années. Il y a un genre de borie à côté, nous pourrons y déjeuner". Soit ! C'est parti pour les 3 km annoncés.

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Ah, nous y voilà. Nous traversons un petit vallon, parallèle à la piste, remontons de l'autre côté, cherchons, cherchons, la salsepareille, les chênes verts sont toujours là, mais pas de "Baume de Fauchin", pas de grotte. Serait-ce un jour "sans" ? Nous grimpons sous une ligne électrique jusqu'au sommet de la colline pour manger au soleil. Enfin, nous l'espérions. Les nuages s’accumulent au-dessus de nous. Mais Jean-Marc n'a pas perdu tout espoir de trouver quelque-chose aujourd'hui : "un peu plus bas, il y a un abri avec des peintures rupestres " : l'Abri des Eissartènes.

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Nous redescendons donc vers la vallée et... youpi ! Une jolie baume, ornée de dessins ocre, s'offre à nos yeux. Elle sera photographiée, filmée. Contents, nous remontons au sommet de notre bosse, basculons de l'autre coté, et reprenons la piste puis un sentier pour revenir à la chapelle. Il commence à pleuvoir aussi empruntons-nous une sente un peu raide pour vite retrouver la voiture.

Cat.

Publié dans rando

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