SOMMET DU BUCHET
RANDO RAQUETTES ST VERAN
AVEC LE CAF TOULON
11 ET 12 MARS 2017
LE BUCHET
Le vendredi soir, nous retrouvons René et Charlotte, Robert, Alain et Anne, Marino, Monique, Jacques, Marcelle, Jean-Paul, René R., Gégé de Marseille et Laure au gîte des Gabelous à St Véran. Mais qu’il est loin ce gîte du parking obligatoire camping-car ! C’est haut, St Véran, mais c’est aussi très très long…
8 h, le samedi, nous nous regroupons dans les voitures et allons nous garer à La Chalp. Rapidement, nous chaussons les raquettes pour quelques heures de grimpette. Partis de 1768 m d’altitude, nous nous élevons doucement mais sûrement. Nous passons le Rif, puis le ravin de Combe Arnaude, nous hissons jusqu’à 2372 m. Tiens, nous sommes plus haut que notre sommet ! C’est sûrement pour cela que nous commençons à redescendre. Ouf, ça repose un peu les jambes ! Nous franchissons le torrent de Pisan, dépassons le lac des Clots pour atteindre bientôt la Chapelle St Simon.
Murmures dans le groupe : " et si nous mangions là ? " Que nenni ! Le sommet du Bucher nous attend. Il nous faut encore atteindre le col des Prés de Fromage d’où la vue est déjà superbe avant gravir les cent derniers mètres, les plus durs. Ouf, nous y sommes : 2254 m. Le Pelvoux d’un côté, le Viso de l’autre, nous sommes comblés ! Les victuailles sortent des sacs, les appareils photos crépitent. Malheureusement, nous ne pouvons rester là tout l’après-midi, il faut songer au retour.
Nous regagnons le col des Prés de Fromage. Deux possibilités s’offrent à nous : rejoindre la Chapelle St Simon et couper à travers le bois du même nom pour rejoindre la piste, ou suivre dès à présent celle-ci, à partir du Col. Robert craint qu’en coupant des barres de rochers ne nous arrêtent. La deuxième option est adoptée… Nous passons devant le Clot Henri, jolie cabane, ouverte aux randonneurs. La descente est facile, un peu longue, un peu monotone, la neige manque par endroits. Un panneau, Molines, 0,300 km. Dommage, il faut continuer jusqu’à La Chalp. Les pieds brûlent un peu.
Enfin le parking. Vite, nous ôtons les raquettes, les grosses chaussures. Ça fait du bien. Nous retrouvons le parking de St Véran, buvons ensemble une bonne bière. A 18 h 30, nous rejoignons les copains au gîte (toujours aussi loin !) pour un repas en commun dans la bonne humeur générale.
Cat.